mardi 15 novembre 2011

Mais qui les motivent à en demander autant?

Salaire : les attentes des jeunes sont irréalistes

Stéphane Rolland . les affaires.com . 02-11-2011 (modifié le 04-11-2011 à 12:04)
chapeau Photo : Bloomberg
Les membres de la génération Y ont des attentes irréalistes en ce qui a trait à leurs augmentations salariales, selon une étude réalisée dans le cadre du Generational Career Shift Project par trois chercheurs universitaires canadiens.

Avant d’entrer sur le marché du travail, les membres de la relève ont des attentes optimistes, mais pas trop éloignées de la réalité. Durant leur première année de carrière, les étudiants et les étudiantes espèrent gagner en moyenne un salaire annuel de 48 860$ et de 42 060$, respectivement. Les auteurs jugent que ces prévisions ne sont pas loin du salaire moyen obtenu, soit 43 119$ et 35 926$. Notons que les hommes ont toujours des attentes salariales plus élevées que les femmes.

Les jeunes nés entre 1980 et 1992, qu’ils soient sur le marché du travail ou étudiants, ont des attentes irréalistes lorsqu’on les questionne sur leur objectif de progression salariale. Après cinq ans de carrière, les jeunes hommes espèrent recevoir un salaire de 84 868$ et leurs collègues féminines anticipent 67 766$.

Autrement dit, leur espérance représente en une augmentation annuelle de 14,8% pour les hommes et de 12,8% pour les femmes. «C’est extrêmement optimiste, en tenant compte du fait que les augmentations de salaire au Canada ont avoisiné les 3% en 2010 et 2011», écrivent les auteurs.

La gourmandise des Y ne s’arrête pas après les cinq premières années de leur parcours professionnel. Les hommes anticipent le point culminant de leur salaire à 171 036$ en moyenne. Les femmes, quant à elles, prévoient un sommet de 125 664$. Peu de jeunes auront la chance d’atteindre ce niveau, indiquent les auteurs. Les personnes gagnant plus 100 000$ ne représentent que 4% des travailleurs canadiens.

Un conseil pour les gestionnaires. Discuter franchement des possibilités d’augmentations à l’embauche. L’étude indique aussi que les Y ont la bougeotte. Les auteurs recommandent de favoriser les changements de fonctions à l’interne afin de conserver leurs meilleurs talents.

Attention à nos X

Si les Y sont gourmands, les membres de la génération X, nés entre 1965 et 1979, sont déçus. Les gestionnaires devront trouver une façon de changer cet état d’âme. Cela devrait être leur priorité, mettent en garde les auteurs. Avec le départ des baby-boomers, les membres de la génération X deviendront les employés expérimentés de l’entreprise, une ressource essentielle.

Le problème : les membres de cette cohorte expriment le taux d’insatisfaction le plus élevé par rapport à leur travail, ils souffrent d’une plus grande adéquation entre leur espoir et la réalité, et ils vivent davantage de conflits entre leurs activités familiales et professionnelles. Or, un employé insatisfait est un employé qui a plus de chance de vous laisser pour un concurrent.

La solution est cependant loin d’être simple, admettent les auteurs qui laissent le gestionnaire trouver lui-même une solution. Les dirigeants sont cependant encouragés à porter une oreille attentive aux besoins des X afin d’adapter, dans la mesure du possible, l’environnement de travail à leurs attentes.

Le sondage a été effectué auprès 3 007, étudiants, travailleurs ou retraités. Les trois chercheurs qui ont rédigé l’étude sont Sean Lyons de l’Université de Guelph en Ontario, Eddy S. W. Ng. de l’Université de Dalhousie en Nouvelle-Écosse et Linda Schweitzer de l’Université de Carleton en Ontario

lundi 24 octobre 2011

Un petit «pense-bête» en cette période de planification des party de Noël d'entreprises...

Party de Noël : prendre ses responsabilités d’employeur
Par Florent Francoeur, CRHA,
Crise économique, grippe A(H1N1), tout concourt cette année à calmer l’enthousiasme, même des fêtards les plus endurcis, pour les partys de Noël! Déjà, la situation de l’économie avait modéré les transports de beaucoup d’employeurs. Et la pandémie de grippe est venue en décourager plusieurs autres…

Mais bien qu’il soit souvent plus modeste cette année, le party de Noël fait encore partie de la tradition et il aura tout de même lieu dans plusieurs entreprises. C’est toujours une bonne façon de remercier ses employés.
Toutefois, une fête de bureau peut facilement se transformer en cauchemar pour la personne qui est victime de la conduite inacceptable d’un collègue. Pour l’employeur aussi… Ce dernier pourrait en effet être tenu responsable d’un incident ou d’un accident survenu pendant cette soirée. En cas de harcèlement par exemple, il pourrait être condamné à verser des dommages exemplaires à l’employé touché.
Rappelons que tout employeur est tenu, en vertu du Code civil du Québec, de la Loi sur la santé et la sécurité du travail et de la Charte des droits et libertés de la personne, de protéger la santé et la sécurité de ses employés. Cette obligation peut s’étendre, selon la gravité de l’incident, à une activité sociale telle la soirée de Noël, et ce, qu’elle se tienne dans les locaux de l’employeur ou à l’extérieur, pendant ou après les heures de travail.
Alcool, accident, harcèlement, bagarre…
Ainsi, l’employeur doit voir à ce que tout se passe correctement. L’alcool étant souvent la cause de comportements imprudents ou de gestes inconvenants, nombreux sont ceux qui ne paient plus les consommations au cours de la soirée ou qui ferment le bar deux heures avant la fin du party. Il faut savoir à ce propos que l’employeur peut être jugé en partie responsable si un employé qu’il a laissé boire avec excès et partir en état d’ébriété subit un accident sur le chemin du retour.
Et quoi de plus désagréable pour une personne que de subir les attentions importunes d’un collègue pendant cette soirée où elle devrait tout simplement s’amuser! C’est pourquoi l’employeur est en droit de demander à ses employés qu’ils adoptent une conduite correcte à l’égard de leurs collègues et de sévir le cas échéant, les sanctions pouvant aller jusqu’au congédiement. C’est en effet son devoir, selon la Loi sur les normes du travail, de prendre les moyens raisonnables pour prévenir toute forme de harcèlement et d’intervenir pour faire cesser toute conduite harcelante. Et cette obligation s’applique à tout événement social de l’entreprise.
L’alcool aidant, une bagarre peut aussi éclater de façon intempestive. On commence par s’injurier et on en vient aux coups, transformant ainsi la soirée en désastre. Encore là, l’employeur, qui doit assurer la sécurité de son personnel, pourra être justifié d’imposer des sanctions aux responsables de l’altercation.
Pour éviter tout incident regrettable…
Pour prévenir tout risque de dérapage lors de leurs activités sociales et pour s’assurer que les employés rentrent en toute sécurité à la maison, plusieurs entreprises prennent des dispositions spécifiques qui s’appliquent tout particulièrement au party de Noël. Voici quelques conseils…
En premier lieu, élaborez une politique sur le harcèlement psychologique claire et efficace, connue et bien comprise par tous les salariés. Indiquez-y clairement que vous ne supporterez aucun comportement déplacé.
Quand vous décidez d’organiser un party de Noël, désignez une ou plusieurs personnes pour encadrer l’événement et établissez un programme rigoureux qui laisse peu de place à des initiatives malencontreuses.
Pendant la soirée, ne proposez pas un bar ouvert ou limitez, en distribuant des coupons, le nombre de consommations par employé. Cessez d’offrir de l’alcool deux heures avant la fin du party. Vous pouvez même fournir des alcootests avant le départ.
Pour éviter des accidents, prévoyez d’autres moyens de transport : invitez vos employés à faire du covoiturage avec un chauffeur désigné, offrez-leur des coupons de taxi ou incitez-les à appeler Opération Nez rouge.
On dit aussi que le fait d’inviter les conjoints peut contribuer à réduire les écarts de conduite et à éviter des dérapages, même si cela occasionne des frais supplémentaires. Cela pourrait être une bonne décision…
Joyeuses fêtes!

dimanche 23 octobre 2011

Le mentor est important

L'auteur présente le mentor comme étant un levier important dans un changement de direction, particulièrement dans la passation d'une entreprise familiale. Ma phrase favorite dans l'article: «on ne gère pas une entreprise comme on gère sa femme ou ses enfants» J'AIME!

http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/333881/combien-de-faux-pas-evites-grace-a-un-mentor

jeudi 6 octobre 2011

Horaires de travail VS conciliation travail-famille?

Des statisques intéressantes qui reflètent sans doute les nouvelles réalités des jeunes familles et de la valorisation de la conciliation travail-famille même si aujourd'hui les femmes sont autant scolarisées que les hommes.

Les horaires de travail irréguliers en vogue

Olivier Schmouker . les affaires.com . 05-10-2011

CENTRE DE DOCUMENTATION

L'étude de l'ISQ (p. 5 du PDF)
chapeau Les horaires «normaux» sont de moins en moins courants. Photo : Bloomberg.
Avoir un emploi de 9h à 17h, de lundi au vendredi, devient de moins en moins fréquent au Québec. Cela ne concerne plus que 70% des employés, à la baisse d’une baisse de 4,1 points de pourcentage emtre 1996 et 2008, d’après l’Institut de la statistique du Québec.

En revanche, les horaires de travail irréguliers - variant d’une semaine ou d’un mois à l’autre - sont de plus en plus courants : ils concernent 12% des employés, à la suite d’une progression de 3,7 points de pourcentage durant la même période de temps. D’autres types d’emplois à horaires particuliers sont, eux aussi, à la hausse, comme les postes de nuit et les postes fractionnés ou sur appel.

Les femmes ont été les plus touchées par la diminution des postes à horaires «normaux». Elles étaient en effet 75,6% à en bénéficier au milieu des années 1990, et ne sont maintenant plus que 70%, soit une perte de 5,6 points de pourcentage. Elles ont ainsi atteint un pourcentage similaire à celui des hommes (69%, après une baisse de 2,7 points de pourcentage).

En toute logique, les femmes se sont retrouvées à occuper de plus en plus de postes à horaires irréguliers : 13,2% d’entre elles (+4,8 points de pourcentage) travaillent ainsi de nos joirs. C’est nettement plus que les hommes, dont le pourcentage est de 10,4% (+2,7 points de pourcentage).

5 idées reçues sur l’emploi | L'actualité

5 idées reçues sur l’emploi L'actualité

De quoi repenser la rémunération en entreprise...

vendredi 23 septembre 2011

Petit «pense-bête» à conserver pour mieux réseauter

Les sept commandements du réseautage efficace

Gilles Des Roberts . Finance et Investissement . 22-09-2011
Tags : Carrière
Que vous soyez en début de carrière ou sur votre lancée, le réseautage est un bon outil de développement de vos affaires.

Toutefois, il ne suffit pas de se pointer à un événement, de circuler et de distribuer quelques poignées de mains et cartes d'affaires pour obtenir des résultats. Le réseautage exige le respect des sept commandements du réseautage efficace tels qu'expliqués par la consultante et formatrice Nellie Akalp dans son blogue de Mashable.

Donner plutôt que recevoir

Trop souvent les gens se fixent des objectifs précis pour une activité de réseautage. Ils visent à obtenir un certain nombre de nouvelles références ou de nouveaux clients. Or, vous n'êtes pas là pour recevoir, mais bien pour donner des informations et participer activement à l'événement. En agissant ainsi, vous vous enlevez de la pression sur les épaules, vous êtes moins stressé et vous profitez du moment.

Ne soyez pas désespérés

Vous avez peut-être besoin désespérément d'un nouveau client ou d'un nouvel emploi, mais ne le démontrez pas. Les autres participants ne sont pas votre bouée de secours. Relisez le premier commandement et changez votre stratégie.

Soyez sincères

Tenez de vraies conversations avec les autres participants. Évitez de parler en acronymes et en jargon technique et évitez les expressions à la mode, mais vides de sens. Expliquez simplement et clairement ce que vous faites et pourquoi vous participez à cet événement. Votre objectif est de vous faire comprendre par tous les participants, car la compréhension est la clé d'une relation d'affaires réussie.

Posez des questions ouvertes

Ne posez que des questions qui ne peuvent pas se répondre par oui ou par non. Ainsi, vous obtenez plus d'informations et vous démontrez également plus de curiosité envers votre interlocuteur. Deux bons exemples : « Comment votre secteur d'activité a-t-il évolué depuis les 10 dernières années ? » et « Qu'est-ce que vos clients vous demandent le plus souvent ? ».

Modérez votre consommation d'alcool

Une ou deux consommations peuvent vous aider à relaxer et à réseauter plus facilement. Mais connaissez votre limite, car votre jugement et vos propos peuvent être altérés si vous la dépassez et vous pouvez commettre des bévues irréparables. Faites mentir les conclusions de cette étude qui indique que les gens consomment plus d'alcool lors des événements corporatifs que lorsqu'ils fréquentent un bar ou une fête.

Établissez un bon contact

Vous ne savez jamais où une conversation peut vous mener. Alors si votre interlocuteur ne correspond pas au profil de contact recherché, ne passez pas tout de suite au prochain. Prenez le temps d'échanger avec lui, il connaît peut être quelqu'un qui peut créer de la valeur pour vous.

Pratiquez-vous

Le réseautage est une habileté qui se développe. Observez les personnes qui sont à l'aise dans ce genre d'activité et n'hésitez pas à leur demander des trucs. Le meilleur moyen de s'améliorer est de fréquenter régulièrement des activités de réseautage.

Nellie Akalp est président du groupe-conseil CorpNet et on peut la suivre sur Twitter. Vous pouvez également consulter ce guide et cette page pour optimiser votre réseautage.

mercredi 21 septembre 2011

dimanche 21 août 2011

Une autre façon de recruter

Intéressant comme méthode mais je trouve qu'elle laisse peu de place à la dimention humaine où on prend le temps d'être à l'écoute du candidat. Ce type de méthode ne doit sans doute pas être efficace pour tous types de postes.

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/cv/201108/14/01-4425860-comment-trouver-un-emploi-en-20-minutes.php

jeudi 18 août 2011

Et la dimention humaine?

Je serais par contre concurieuse que voir si inversement une approche à dimention humaine qui inclut un minimum d'empathie ne serait pas plus payant pour la rétention de la main d'oeuvre et par le fait même permet d'éviter le roulement de personnel.

Le salaire du gestionnaire est une chose, mais la rentabilité de l'entreprise elle aussi doit être considérée! Je ne suis pas certaine qu'à force d'être moins gentils les employés restent...

http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2011/08/20110817-075342.html

dimanche 14 août 2011

L'évaluation des employés

 

COMMENTAIRES SLSRH: Les propositions de l'auteur sont adéquates et réalistes mais j'ajouterais ceci: lors des rencontres de suivi, voir à modifier les moyens de mise en oeuvre s'ils ne sont pas adéquats de concert avec l'employé. Si l'objectif n'est pas atteint, il faut chercher le lien de causalité...


Évaluer son employé pour le rendre plus performant

Léonie Laflamme Savoie . Finance et Investissement . 10-08-2011 (modifié le 12-08-2011 à 13:30)
En tant que patron, il est dans votre intérêt, et dans celui de votre entreprise, de vous assurer que vos employés progressent. Comment tirer le maximum des rencontres annuelles d'évaluation? Un expert explique sa méthode.

« Au départ, en prenant l'exemple d'un cabinet de services financiers, c'est certain que j'ai besoin d'avoir des personnes qui sont prédisposés à devenir de bons conseillers, explique Jean-Pierre Lauzier, coach d'affaires, conférencier et président de JPL Communications. Avant de mettre en place mon plan, j'assume que ceux qui sont en place sont bons pour faire le travail. »

Une fois qu'on a trouvé chaussure à son pied en matière d'employé, Jean-Pierre Lauzier suggère d'utiliser une méthode en quatre étapes. La première chose à faire consiste à établir des objectifs avec son employé : que devra-t-il faire durant la prochaine période d'évaluation?

« Il y a les objectifs tangibles, comme une quantité précise de vente, et les intangibles, comme des qualités humaines à développer, souligne Jean-Pierre Lauzier. C'est un peu comme un iceberg, il y a près de 85% de sa masse qui est sous l'eau et 15% qu'on peut voir. Ce 15%, ce sont les objectifs mesurables et faciles à quantifier. La partie submergée représente les objectifs intangibles. Elle est beaucoup plus difficile à voir, mais c'est elle qui fait la différence. »

Un bon objectif est non seulement quantifiable, comme une quantité de ventes souhaitées, mais également spécifiques, c'est-à-dire qu'il doit être formulé de façon à décrire précisément la situation à atteindre tout en la délimitant dans le temps. Par exemple, quelqu'un qui souhaite courir un marathon l'an prochain se fixera l'objectif suivant : d'ici un an, je vais courir les 42 km du marathon de Montréal. De plus, l'objectif doit être à la fois réaliste et ambitieux, c'est-à-dire qu'il doit poser un défi, mais être quand même à la portée de celui qui se le fixe.

Dans un monde idéal, l'employé devrait participer activement au choix des objectifs. Le patron doit d'ailleurs être attentif : il doit fixer des buts qui s'inscrivent dans la stratégie de développement de l'entreprise tout en étant stimulants pour l'employé. « On doit demander à l'employé qu'est-ce qui lui tient à cœur dans l'entreprise. Si on lui impose des objectifs qui ne lui disent rien, on aura éventuellement un problème de motivation. »

Pour s'assurer que l'employé est motivé face à ses objectifs, le patron doit passer par une autre étape de l'évaluation : développer ses « pourquoi ». C'est l'étape durant laquelle le patron explique à l'employé pourquoi l'objectif est important dans le cadre des activités de son entreprise.

En troisième lieu, le patron ou son employé doivent mettre en place un plan d'action qui permettra d'atteindre l'objectif fixé. À l'image d'un escalier, le plan illustrera toutes les marches que l'employé devra gravir pour atteindre son but : « Il faut faire un plan détaillé de la marche à suivre », indique Jean-Pierre Lauzier. Le plan d'action peut aussi comprendre des rendez-vous d'évaluation à mi-parcours pour s'assurer de la progression de l'employé.

La dernière étape est l'évaluation de fin d'année. Puisqu'on a fixé d'avance les objectifs à atteindre, il est facile de quantifier la progression de l'employé durant l'année : « Ça me permet de dire si j'avance ou si je recule. Je m'assure, si j'applique le processus avec assez de rigueur, que mon employé progressera et je peux le supporter pour qu'il chemine de façon positive. »

Lors de l'évaluation, le patron doit faire bien attention à la façon dont il formulera les critiques qu'il a envers son employé. Jean-Pierre Lauzier suggère de présenter d'abord des points forts de l'individu pour ensuite lui expliquer ceux qu'il doit améliorer : « Il faut traiter nos employés en bon père de famille et les aider à bâtir leur estime d'eux-mêmes en les faisant grandir. »

Cette façon de faire peut permettre à un patron de se construire une excellente équipe en quelques années : « Plus de 90% des entreprises n'utilisent pas ce genre de méthode. En faisant ça, on s'assure de mettre en place un environnement très rationnel et on met de côté met les émotions. Il faut toutefois suivre la méthode de façon systématique et le patron doit se préparer, ce n'est pas instinctif. »

jeudi 4 août 2011

Le changement c'est sain...

1 Canadien sur 2 veut changer de carrière

Olivier Schmouker . les affaires.com . 03-08-2011
chapeau Faire une pause dans sa carrière fait de moins en moins peur. Photo : DR.
D’ici les 5 prochaines années, la moitié des Canadiens s’attendent à changer de carrière. C’est du moins ce qu’indique un sondage mené par le cabinet de placement professionnel Kelly auprès de 97 000 personnes dans 30 pays, dont plus de 4 000 au Canada.

Plus : Le blogue management «En Tête»

«C’est un nombre étonnamment grand d'employés qui envisagent activement un changement de carrière et un nouveau départ. Il y a vingt ans, la simple idée d'avoir à changer de carrière aurait été perçue comme une crise. Aujourd'hui, cela est bien vu, car c’est faire preuve de flexibilité. Et ça témoigne d’un changement majeur dans les besoins et les intérêts personnels des employés», dit Carolyn Grossi, directrice des opérations, de Kelly.

Comment expliquer un tel phénomène? Essentiellement par trois raisons :

> parce que nombre de Canadiens (24%) sont à la recherche d’un meilleur équilibre entre le travail et la vie de famille;

> parce qu’ils (24% aussi) sentent que leurs motivations professionnelles sont en train de changer;

> et parce qu’ils ressentent le besoin d’un revenu plus important (23%).

Maintenant, comment comptent-ils s’y prendre pour changer de carrière? Ils vont miser sur leur expérience professionnelle : priées de déterminer les facteurs les plus importants dans la carrière d'une personne - l'expérience ou les études – une grande majorité (81%) des personnes interrogées ont mentionné l'expérience, et une minorité (17%), les études.

De plus, 61% des personnes interrogées ont indiqué que lorsqu’elles allaient postuler pour un nouveau poste, elles allaient mettre l’accent sur leur expérience de travail. Elles vont aussi attacher de l’importance à l’entrevue d’embauche (23%), à leurs références d'emploi (10%) et à leurs diplômes (7%).

Les deux tiers des futurs candidats (67%) à un nouveau poste vont viser des fonctions de direction, tandis que 24% ne le souhaitent pas et 9% demeurent indécis. Parmi les principales raisons pour éviter un poste de direction, on trouve surtout des préoccupations quant aux contraintes et au stress liées à ce type de fonctions (33%), ainsi que l'influence d'un tel poste sur l'équilibre travail-vie de famille (27%).

À noter par ailleurs qu’un nombre grandissant de Canadiens se disent prêts à faire une pause dans leur carrière. Les trois quarts (73%) des personnes interessées par cela estiment qu'elles pourraient poursuivre leur carrière au même niveau après avoir pris une pause pour des motifs tels qu'un congé de maternité, de paternité ou de maladie, ou des vacances prolongées. Les membres de la Génération Y (18 à 29 ans) sont les plus confiants à ce sujet, à hauteur de 83%, alors que c’est le cas pour 72% de ceux de la Génération X (30 à 47 ans) et pour 64% de ceux des baby-boomers (48 à 65 ans).

mardi 2 août 2011

L'importance d'utiliser toutes les forces de ses RH

L'auteur nous propose des idées intéressantes afin de bien utiliser les forces des membres d'un groupe de travail. L'important de prendre le temps de bien connaitre ces forces et de les utiliser afin d'atteindre les objectifs de l'entreprise dans le respect de l'individualité de ses ressources humaines.

http://www.lesaffaires.com/blogues/olivier-schmouker/olivier-schmouker-eloge-de-l-intelligence-collective-et-feminine/533119/1

dimanche 24 juillet 2011

Gestion de la diversité des RH

Parce que chaque personne a du bon à apporter dans une entreprise et être heureux au travail.

Le bonheur des X, Y, C et BB

Tags : Management
Je fais partie de la génération X. J’ai longtemps jugé mon père, un vrai baby-boomer (BB), et j’ai constamment tenté de le convaincre du bien-fondé de ma façon de voir les choses… jusqu’à ce que, finalement, je cherche plutôt à comprendre la sienne. Je me suis évertué à faire preuve de la même ouverture d’esprit avec mes fils, des Y, comme avec mes collègues de travail, BB, X et Y. Vrai, tous mes échanges reposaient sur la même intention : nous comprendre, mieux vivre ensemble : bref, réduire ce fameux écart générationnel. Que d’énergie gaspillée ! Que de tentatives stériles à vouloir combler nos différences !###
Je me suis apaisé le jour où je me suis arrêté à ce qui nous reliait plutôt qu’à ce qui nous divisait. J’ai alors compris qu’indépendamment de la génération à laquelle nous appartenons, nous cherchons tous à être heureux. Fort de cette découverte, j’ai alors travaillé à mettre en place les conditions et l’environnement propices au bonheur de chacun, y compris le mien. Résultat : tout le monde est devenu plus heureux !
Quand, en 2002, le Groupe Adecco Québec, l’entreprise que je dirigeais alors, a été l’un des lauréats du Défi Meilleurs Employeurs, l’équipe de direction n’était déjà plus préoccupée par la nécessité de tolérer l’autre dans sa différence : nous étions ailleurs, à aider nos employés à trouver le bonheur ! Et nous avions raison de le faire.
Pendant des années, pourtant, j’avais pris mes décisions strictement en fonction des objectifs, des livrables, des indices de performance et du chiffre d’affaires, alors qu’au fond, la seule chose qui nous intéressait, moi comme les gens qui m’entouraient, c’était d’être heureux ! Quand j’ai commencé à axer mes décisions sur le principe « un bien-être maximum et une souffrance minimum », les résultats ont vite parlé d’eux-mêmes : accroissement de la performance et augmentation des profits.
Quand on prend un peu de recul, on voit bien que les gens heureux sont en meilleure santé et plus performants. Hel-lo ! C’est tellement évident !
Le plus réjouissant, c’est que cette approche vaut aussi pour la gestion d’un pays. Je pense au Bhoutan, où je viens de faire un séjour fascinant avec 36 dirigeants québécois. Ce pays, voisin du Népal, vise l’atteinte du bonheur grâce à l’amélioration de son Bonheur national brut (BNB). Son leitmotiv : veiller au bonheur des habitants, tout en ne perdant pas de vue la prospérité économique du pays. Les dirigeants du Bhoutan parviennent en effet à concilier les deux, grâce à une vision intelligente et à des principes clairs qui les guident de façon très cohérente. Inutile de dire que mon groupe et moi sommes revenus gonflés à bloc de notre mission, bien résolus à transformer nos organisations en autant de petits Bhoutan ! En passant, mes relations avec mon père et mes fils n’ont jamais été aussi bonnes. Je nous sens davantage « connectés ». Peut-être que, pour être heureux, il faut remplir ce besoin (typique de la génération C !) de nous sentir reliés aux autres. Au fond, peu importe la « lettre » qui nous représente, c’est le bonheur que nous cherchons… Et vous, êtes-vous si différents des X, Y, C et BB qui vous entourent ?

mercredi 6 juillet 2011

MERCI! Au cercle d'emprunt de Charlevoix

Suzy Latreille Solutions RH
Le dynamisme et la détermination de Suzy ne démentent pas lorsqu’il est question de formation et de coordination d’équipes.  Son but : amener un groupe à un résultat efficient! Depuis qu’elle est arrivée dans la région de Charlevoix en 2006, Suzy rêve d’offrir son talent et son expertise  de formatrice et de gestionnaire des ressources humaines aux organismes et entreprises de la région. Petit à petit, elle développe sa clientèle tout en travaillant à la télévision communautaire de sa MRC à titre d’animatrice de la vie communautaire. Son engagement dans sa communauté lui ouvre les portes de sa propre entreprise et les Cercles d’emprunt de Charlevoix sont fiers de travailler avec cette fonceuse naturelle et tellement humaine!

vendredi 10 juin 2011

La gestion humaine de la performance (45784)

Belle distinction entre la notion de performance et l'objectif de rendement dans la mesure où la dimention humaine dans son entité individuelle est respectée et écoutée.

La gestion humaine de la performance (45784)

mardi 7 juin 2011

Gestionnaires des ressources humaines: premiers au fil d'arrivée (1102)

valorisation de la fonction de GRH: Les moyens proposés sont effectivement adéquats dans la mesure où le gestionnaire sait les reconnaîetre pour une meilleure mise en application.

Gestionnaires des ressources humaines: premiers au fil d'arrivée (1102)

vendredi 20 mai 2011

Maintien de la passion?

L'auteur propose des questions intéressantes. Sans doute que d'y répondre à l'affirmative maintien la passion d'être en affaires et de faire avancer sa mission.

Entreprendre : Les 12 images de la passion

Je pense que tous les articles sur les PME qui ont du succès pourraient être titrés « Passion et innovation ». C’est une façon facile de relier ce qui relève de la gestion, du rationnel sinon de la science au rôle qu’on attribue au président de l’entreprise.
Le caractère innovateur de l’entreprise a toujours été plus concret pour moi, plus « saisissable » que la personnalité du président ou de la présidente. Je m’aperçois à force de les côtoyer que la passion a autant de formes et de manifestations que l’innovation et qu’il n’y a pas d’entreprise innovante sans un entrepreneur passionné.
Qu’est-ce que la passion ? Je suis tenté de répondre que c’est le carburant à la source de l’entrain, de la forte présence et du dynamisme d’un entrepreneur. Le carburant qui permet à un rêve de se réaliser.
1. Il faut de la passion pour commencer un projet d’entreprise à zéro, comme l’ont fait 10 des entrepreneurs interviewés jusqu’à maintenant pour 1 idée pour gagner.
2. Il en faut autant pour succéder à un entrepreneur à succès et porter l’entreprise encore plus loin, comme l’ont fait sept autres entrepreneurs interviewés.
3. Il ne faut pas avoir peur, ou juste un peu, quand on abandonne un travail stable et bien payé et sauter dans l’inconnu en créant ou en dirigeant une PME, comme l’ont fait quatre entrepreneurs rencontrés.
4. Il faut avoir du plaisir quand un problème se pose et qu’il faut trouver rapidement une solution. Je pense que tous les entrepreneurs ont une poussée d’adrénaline quand les choses de corsent.
5. C’est la passion qui permet de prendre des décisions des centaines de milliers de dollars, sinon de millions de dollars, sans craindre la foudre.
6. Il en faut beaucoup pour rebondir après avoir failli tout perdre, comme l’ont fait trois entrepreneurs rencontrés.
7. Impossible de vouloir recommencer un nouveau projet entrepreneurial sans avoir le feu sacré, comme l’ont fait six entrepreneurs rencontrés.
8. Comment maintenir la même énergie et le même focus sans passion ?
9. Comment dynamiser son équipe et l’amener plus loin, quand l’entrepreneur n’est pas lui-même porté par la passion ?
10. Comment vouloir produire le meilleur produit ou service si on n’est pas soi-même intraitable sur la qualité du travail effectué ?
11. Comment motiver ses troupes dans l’adversité, si l’entrepreneur est lui-même craintif ou démoli ?
12. Comment convaincre banquiers, investisseurs et clients qu’on représente une bonne faire, quand on a soi-même des doutes ?

SOURCE: http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/duhamel/2011/05/18/entreprendre-les-12-images-de-lapassion/utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_bloguesaccueilcp_BO3_accueil_ECRAN1POS18

Un exemple à suivre...

Parceque cela fait partie de nos ressources humaines: leur santé psychologique en minimisant le stress au travail: http://www.anact.fr/web/actualite/essentiel?p_thingIdToShow=17345561

mercredi 27 avril 2011

Bravo! Aux jeunes qui parlent et dénoncent.

Par Sarah-Maude Lefebvre | Journal de Montréal

Alors que la problématique de l'intimidation à l'école défraie la manchette, l'organisme Jeunesse, J'écoute est inondé d'appels de jeunes en détresse. C'est du jamais vu pour l'organisme, qui vient en aide aux adolescents depuis plus de vingt ans.
«C'est désolant dans la mesure où cela démontre à quel point le phénomène de l'intimidation est important au Québec. Mais en même temps, au moins nos jeunes parlent», souligne le directeur des services cliniques, de Jeunesse, J'écoute, Alain Johnson.
Selon ce dernier, l'augmentation des appels et des courriels reçus à son organisme est une conséquence directe de la couverture médiatique accordée à l'intimidation depuis quelques semaines.
«Le fait d'en parler beaucoup donne le courage aux jeunes de prendre la parole et d'aller chercher de l'aide», croit-il.
Une situation exceptionnelle
Jeunesse, J'écoute n'a pas encore compilé les derniers chiffres de fréquentation de ses services. Mais, chose certaine, la situation ne relève pas de l'ordinaire.
«Ça fait cinq ans que je travaille ici et je n'ai jamais vu un flot aussi élevé d'appels sur un même sujet», confie M. Johnson.
Habituellement, les appels et les courriels reliés à l'intimidation représentent 10 % du volume total des demandes, soit environ 43 000 contacts par année.
Des témoignages déchirants
Les adolescents sont également nombreux à écrire au comédien Jasmin Roy, depuis le lancement en décembre dernier de sa fondation qui a pour mission de lutter contre l'intimidation en milieu scolaire. Rencontré par le Journal, le comédien et animateur s'est dit «bouleversé» par la teneur des témoignages qu'il reçoit (voir encadré). «Je lis tous les jours de véritables appels à l'aide qui me font constater l'urgence qui existe sur le terrain, confie-t-il. Encore ce matin, une fille m'a écrit pour me demander conseil au sujet de son amie qui a attenté à sa vie, après avoir été harcelée par des camarades de classe.»
En quatre mois, Jasmin Roy aurait reçu «plusieurs milliers» de témoignages de la part d'adolescents désespérés.
«Je ne suis pas outillé pour aider tous ces jeunes. C'est au gouvernement de réagir. Actuellement, son inertie fait des victimes chaque jour dans les écoles», déplore-t-il.
Ce dernier a rencontré la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, à quelques reprises pour la convaincre d'adopter un plan de lutte à l'homophobie dans les écoles qui comprendrait, entre autres, la mise en place d'une personne-ressource dédiée à l'intimidation dans chaque établissement scolaire.
L'urgence
De son côté, Alain Johnson rappelle à quel point il est important de «faire parler ses ados».
«Les jeunes gardent ce qu'ils vivent long-temps en dedans avant de s'exprimer. Ils communiquent avec nous trop tard, lorsqu'ils sont totalement démunis, en urgence. »

Des histoires bouleversantes
Le comédien Jasmin Roy reçoit chaque jour des témoignages bouleversants de jeunes victimes d'intimidation, de leurs parents ou de leurs enseignants. En voici quelques extraits.
Pensées suicidaires
«Au secours. Je connais une petite fille de huit ans qui pense au suicide à cause de l'intimidation. On ne sait plus quoi faire... Comment peut-on en arriver là ?»
Une victime facile
«Mon fils est encore au primaire. J'avoue que le secondaire me fait peur, car il est une victime facile pour les agresseurs : seul, manque d'estime de soi, fragile et surtout différent.»
«Je suis certaine que mon fils ne finira pas son secondaire. Il a vraiment hâte que le temps passe et que son cauchemar soit fini.»
Avec une barre de fer
«Ma fille est victime d'intimidation depuis l'enfance. Avant les Fêtes, j'ai été obligée de la faire suivre par des policiers sur le trajet entre la maison et l'école, car des jeunes voulaient la frapper avec une barre de fer.»

vendredi 15 avril 2011

Questions Salariales

Nos salaires ont peut-être augmentés, mais pas certaine qu'ils sont au prorata du coût de la vie. De plus, les chiffres sont intéressants dans cet article mais sont-ils représentatifs de toutes les régions du Québec? Encore moins certaine...

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201104/12/01-4388880-en-mode-rattrapage.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B40_chroniqueurs_379112_accueil_POS2

samedi 9 avril 2011

Débat financier ou éthique d'entreprise?

À la lecture de cet article on peut se questionner sur 2 choses:
- La richesse d'un employé expérimenté se rémunère jusqu'à quel point?
- Une entreprise au nom du profit peut-elle vraiment penser que ses ressources humaines ne sont que l'objet de dépenses? Où se situe la considération et comment se présente-elle dans les valeurs d'une entreprise?

À lire si vous penser faire des coupures dans la masse salariale:

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/finances-personnelles/201104/08/01-4388126-repousser-lage-de-la-retraite-les-employeurs-sont-ils-daccord.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1

mercredi 6 avril 2011

Des pratiques RH à reconsidérer. J'AIME!

Agence QMI
Pour affronter la pénurie de main-d'œuvre dans certains secteurs au Québec, le gouvernement provincial a décidé d'implanter une norme de conciliation travail-famille semblable aux certifications environnementales qui démarquent les meilleurs employeurs.
La ministre responsable de la Famille, Yolande James, a affirmé souhaiter que les employeurs perçoivent cette certification comme un investissement plutôt qu'une récompense pour leurs travailleurs.
«On le fait au niveau environnemental, alors pourquoi ne pas le faire pour revoir les pratiques des ressources humaines», a-t-elle dit, mardi, lors de cette annonce au studio de jeux vidéo Frima, à Québec.
La norme de conciliation travail-famille, la première au monde, sera décernée par le Bureau de normalisation du Québec. Elle sera accordée aux employeurs qui permettent à leurs employés des horaires de travail flexibles ou comprimés, des congés pour la famille et autres mesures visant à aider les travailleurs à assumer leurs obligations parentales.
La certification en question aura quatre niveaux différents. Le ministre Sam Hamad, présent lors de l'annonce, a même précisé que les mesures peuvent aussi s'adresser aux grands-parents qui sont sur le marché du travail et qui désirent s'occuper de leurs petits-enfants.

Des gestes peuvent aussi viser les travailleurs qui doivent s'occuper de leurs parents vieillissants.
Le gouvernement souhaite convaincre les entreprises et les organisations d'y adhérer en octroyant un soutien financier allant de 10 000$ à 50 000$ pour faire les démarches nécessaires à l'obtention de cette certification, qui peuvent prendre de quatre à six mois.
Exemples
Le studio de jeux vidéo Frima Studio, où se tenait la conférence de presse, a l'intention de devenir la première entreprise québécoise certifiée conciliation travail-famille. Son président, M. Steve Couture, a d'ailleurs indiqué qu'il propose déjà un système de pointage à ses employés, qui peuvent bénéficier de services de massage ou d'aide ménagère à la maison ou bien de traiteur pour soulager ses travailleurs de certaines tâches.
Le Bureau de normalisation du Québec a justement déterminé un barème pour classifier les entreprises et les organisations à l'obtention de la norme. Plus les mesures d'aide à la conciliation travail-famille offertes par les employeurs seront originales, plus le niveau sera élevé.
Cette démarche est volontaire, ont insisté les ministres Hamad et James, mais elle permettrait d'attirer de la main-d'œuvre étrangère, selon eux. Pour l'instant, on ne connaît pas les coûts qui sont rattachés à l'implantation de cette norme au Québec

Sommes nous moins attrayants ou moins accueillants au Québec?

Très intéressant... les chiffres parle d'eux-même, maintenant il faut trouver les moyens comme québécois de les contredire...
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/claude-picher/201104/05/01-4386563-immigrants-et-emploi-le-quebec-a-la-queue.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B40_chroniqueurs_379112_accueil_POS2

mardi 5 avril 2011

Gestion de la rémunération indirecte

Pour un gestionnaire dans ce cas-ci, la gestion de la rémunération indirecte devient un plus grand casse-tête que la gestion de la rémunération directe!

Une réalitée brièvement analysée mais qui nous rappèle que nous devons être plus autonome dans la gestion de notre retraite:
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/michel-girard/201104/04/01-4386134-preretraite-forcee-la-rente-sera-t-elle-amputee.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B40_chroniqueurs_379112_accueil_POS1

vendredi 25 mars 2011

L'utilisateur Payeur...

Bien évidemment cette notion reviens aux lèvres de plusieurs. Le grand problème est sans doute que non pas tous sont en mesure de payer pour utiliser. Une telle pratique amplifie l'écart entre les riches et les pauvres c'est certains. L'utilisateur-payeur à mon sens sera sans doute une prémisse à la disparition de la classe moyenne; celle qui paie déjà pour tout et qui n'a rien.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2011/03/20110324-214833.html

lundi 21 mars 2011

dimanche 13 mars 2011

Une belle définition du leadership efficace...

La.com - Quelle est votre définition d'un leadership efficace?

JJ - C'est vraiment une question de capacité d'apprendre, et d'être humble et emphatique dans ce processus. Être un leader aujourd'hui est plus une question de servir, et non de se faire servir.

dimanche 6 mars 2011

Solutions RH

Les Consultations
en ressources humaines:

lAide à la consolidation des équipes de travail
lSupport à la gestion des situations conflictuelles
lOrganisation et division du travail
lÉlaboration d’outils qui facilitent la gestion de la rémunération directe et indirecte
lRecrutement et sélection du personnel
lÉlaboration d’outils qui pourront être utiles à l’évaluation et à la probation du personnel
lSupport et moyens qui aident à la gestion de la santé et de la sécurité au travail
lGestion de la diversité et aide à l’intégration des nouveaux employés
 
 
Les Formations destinées aux intervenantes de la petite enfance:

Bricoler avec du recyclé: L’importance du recyclage, comment introduire le recyclage avec les enfants, les thèmes qui reviennent tout en recyclant, l’organisation au quotidien avec le recyclage.
Des coins de jeux à l’intérieur comme à l’extérieur: Le programme éducatif en vigueur, jouer c’est magique, l’apprentissage actif à travers les coins de jeux, application et situations concrètes de l’aménagement.
Voyage autour du monde avec les enfants: Se préparer à voyager… sur place! Particularités, activités  et ateliers autour des cinq continents.
Le théâtre et les enfants: Les ateliers possibles pour favoriser le jeu, la voix, le corps et l’utilisation de l’espace au théâtre, les étapes importantes pour la planification d’une représentation.
Les enfants ayant des besoins particuliers: L’intégration et l’intervention auprès des enfants selon leurs particularités, le dépistage,  quand et comment utiliser les ressources disponibles.

INFORMEZ-VOUS POUR PLUS DE DÉTAILS! : 418-633-7191